Verbindingen / Jonctions 2

Verbindingen / Jonctions 2

19/03-26/04/1998
Le fil conducteur de la programmation fut de se demander pourquoi et comment des artistes produisent-ils des sons et des images au milieu de cette pléthore médiatique.

Certains, au travers de leurs œuvres, se situent dans l’histoire du cinéma, en bousculant les genres, en confrontant leur création à d’autres, en s’inscrivant dans une lignée (Ferrara / Van Bogaert, Toufic, Ahwesh), en commentant les images qui nous arrrivent quotidiennement. L’horreur et le vampirisme qui se retrouvent dans plusieurs productions, peuvent être vus comme des métaphores de la place de l’image et des artistes dans cette ère médiatique.

Peggy Ahwesh a toujours cherché sa propre voie au sein des médias contemporains, dominés par le divertissement, la manipulation, le sexe et la violence. Elle le fait de manière opiniâtre, inspirée mais pourtant indépendante de la théorie et de la cinéphilie, et en traitant en profondeur les images que les médias nous renvoient quotidiennement. D’autres artistes tels que Sadie Benning, Sherry Millner, Yann Beauvais, Karen Vanderborght, Mathias Müller, Steve Fagin, Aleksandr Sokourov y apportent leurs réflexions par l’image.

En outre, plusieurs auteurs se posent des questions face au genre du documentaire: où commence la fiction, quand le documentaire est-il rattrapé par l’exotisme, par le spectaculaire ou par le sentimentalisme de l’intérêt humain?

Et enfin, des artistes avec une expérience artistique différente s’emparent de nouveaux médias qui correspondent mieux à leurs projets actuels, soit dans le cadre d’un film ou d’une vidéo (The Way of the Weed), soit dans le domaine des nouvelles technologies tels le CD-rom (Chris Marker, Zoe Beloff, Tomato, George Legrady, Graham Haward), internet (Equator), ou du multimédia (Stefaan Decostere, Shu Lea Cheang).

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Verbindingen / Jonctions 2 - Constant
Project:

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19/03-26/04/1998
Le fil conducteur de la programmation fut de se demander pourquoi et comment des artistes produisent-ils des sons et des images au milieu de cette pléthore médiatique.

Certains, au travers de leurs œuvres, se situent dans l’histoire du cinéma, en bousculant les genres, en confrontant leur création à d’autres, en s’inscrivant dans une lignée (Ferrara / Van Bogaert, Toufic, Ahwesh), en commentant les images qui nous arrrivent quotidiennement. L’horreur et le vampirisme qui se retrouvent dans plusieurs productions, peuvent être vus comme des métaphores de la place de l’image et des artistes dans cette ère médiatique.

Peggy Ahwesh a toujours cherché sa propre voie au sein des médias contemporains, dominés par le divertissement, la manipulation, le sexe et la violence. Elle le fait de manière opiniâtre, inspirée mais pourtant indépendante de la théorie et de la cinéphilie, et en traitant en profondeur les images que les médias nous renvoient quotidiennement. D’autres artistes tels que Sadie Benning, Sherry Millner, Yann Beauvais, Karen Vanderborght, Mathias Müller, Steve Fagin, Aleksandr Sokourov y apportent leurs réflexions par l’image.

En outre, plusieurs auteurs se posent des questions face au genre du documentaire: où commence la fiction, quand le documentaire est-il rattrapé par l’exotisme, par le spectaculaire ou par le sentimentalisme de l’intérêt humain?

Et enfin, des artistes avec une expérience artistique différente s’emparent de nouveaux médias qui correspondent mieux à leurs projets actuels, soit dans le cadre d’un film ou d’une vidéo (The Way of the Weed), soit dans le domaine des nouvelles technologies tels le CD-rom (Chris Marker, Zoe Beloff, Tomato, George Legrady, Graham Haward), internet (Equator), ou du multimédia (Stefaan Decostere, Shu Lea Cheang).

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19/03-26/04/1998
Le fil conducteur de la programmation fut de se demander pourquoi et comment des artistes produisent-ils des sons et des images au milieu de cette pléthore médiatique.

Certains, au travers de leurs œuvres, se situent dans l’histoire du cinéma, en bousculant les genres, en confrontant leur création à d’autres, en s’inscrivant dans une lignée (Ferrara / Van Bogaert, Toufic, Ahwesh), en commentant les images qui nous arrrivent quotidiennement. L’horreur et le vampirisme qui se retrouvent dans plusieurs productions, peuvent être vus comme des métaphores de la place de l’image et des artistes dans cette ère médiatique.

Peggy Ahwesh a toujours cherché sa propre voie au sein des médias contemporains, dominés par le divertissement, la manipulation, le sexe et la violence. Elle le fait de manière opiniâtre, inspirée mais pourtant indépendante de la théorie et de la cinéphilie, et en traitant en profondeur les images que les médias nous renvoient quotidiennement. D’autres artistes tels que Sadie Benning, Sherry Millner, Yann Beauvais, Karen Vanderborght, Mathias Müller, Steve Fagin, Aleksandr Sokourov y apportent leurs réflexions par l’image.

En outre, plusieurs auteurs se posent des questions face au genre du documentaire: où commence la fiction, quand le documentaire est-il rattrapé par l’exotisme, par le spectaculaire ou par le sentimentalisme de l’intérêt humain?

Et enfin, des artistes avec une expérience artistique différente s’emparent de nouveaux médias qui correspondent mieux à leurs projets actuels, soit dans le cadre d’un film ou d’une vidéo (The Way of the Weed), soit dans le domaine des nouvelles technologies tels le CD-rom (Chris Marker, Zoe Beloff, Tomato, George Legrady, Graham Haward), internet (Equator), ou du multimédia (Stefaan Decostere, Shu Lea Cheang).

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